dimanche 29 avril 2007

Petit déjeuner du dimanche




Ce matin, j'ai préparé des muffins pour le petit déjeuner avec l'aide de ma petite cousine de cinq ans, Nini, qui a passé la nuit chez nous.
Je ne pense pas me tromper en disant qu'elle aime venir nous voir, et surtout dormir chez nous sans sa mère, car c'est un peu la fête à chaque fois. La petite sait qu'elle va se régaler de pâtes carbonara (qu'elle me réclame régulièrement), de hamburgers maison, de glaces ou de "desserts surprise". Elle m'aide parfois à préparer la brioche pour le goûter ou le petit déjeuner du lendemain, ce qui consiste à peser et verser les ingrédients dans ma machine à pain, et à la regarder travailler (cela nous fascine, toutes les deux).
La petite sait aussi qu'elle aura droit à sa ration de dessins animés et de comédies musicales (Gene Kelly sous la pluie, Marylin avec ses diamants). Mais pour ne pas rester tout le temps devant la télé, et histoire de faire un peu d'exercice, il m'arrive de mettre Louxor j'adore et Janine à fond les ballons et on se livre alors à un quart d'heure d'expression corporelle totalement libre tous les trois (secouage de cheveux, tortillements de bras, etc). Jubilatoire !
Parfois, elle s'amuse à fomenter des complots contre moi, avec la complicité de mon poulet (le traître !) : cacher mes barrettes à cheveux, par exemple (si elle trouve ça poilant, pourquoi pas ?). A d'autres moments, ils joueront tout simplement à cache-cache dans notre pourtant pas si grand appartement, ou au docteur (à présent, elle facture même ses consultations, si, si, c'est vrai : j'ai vu un chèque).
Mais son plus grand plaisir quand elle vient chez nous, c'est de savoir qu'elle va dormir avec moi, et que mon poulet sera obligé de passer la nuit sur le canapé du salon. Cette petite aurait-elle un penchant sadique...?

Ce matin, pendant que notre exilé dormait encore, nous nous sommes faufilées silencieusement dans la cuisine pour préparer des muffins pour le petit déjeuner. Que nous avons accompagnés d'un bon smoothie bien frais.

Muffins poire chocolat

pour 6 muffins

150 g de farine
65 g de cassonade
8 c.s. de lait
1 oeuf
1/2 sachet de levure chimique
60 g de beurre
1 poire
80 g de chocolat noir
1 pincée de sel

Préchauffer le four à 200 °C.
Faire fondre le chocolat et le beurre (je l'ai fait au micro-ondes).
Ajouter le lait puis l'oeuf battu, et bien mélanger.
Dans un saladier, mélanger la farine, la cassonade, la levure, le sel, puis y incorporer la préparation liquide. Mélanger grossièrement (il doit y avoir des grumeaux).
Ajouter la poire coupée en petits dés.
Mélanger brièvement et verser dans les moules (en silicone, pour ma part).
Enfourner 15 à 18 minutes à 200 °C.

Verdict :
Nous nous sommes un peu brûlé les doigts par gourmandise :-) La petite Nini s'est régalée, et pas qu'elle d'ailleurs. En ce qui me concerne, j'adore ces petits dés nacrés (et fondants) dans leur écrin de chocolat...




samedi 28 avril 2007

L'humeur du moment




Qui d'autre mieux que Claire Brétécher peut traduire mon humeur actuelle ?

jeudi 26 avril 2007

Pour les amoureux de la banane et du "Nut Nut"




"Nut Nut" est le joli nom donné par mon poulet à cette délicieuse pâte à tartiner qu'on ne présente plus, et dont il se régale le matin au petit déjeuner.

Pas le temps de bavarder aujourd'hui, je vous donne rapidement la recette avant de filer à la bibliothèque, où une place m'attend...

Muffins (à la banane et) au coeur de Nut Nut
pour 5 gros ou 6 petits muffins

150 g de farine
4 c.s. de sirop d'érable
8 c.s. de lait
1 oeuf
1/2 sachet de levure chimique
70 g de beurre
1 banane (mais c'était trop, donc plutôt 1/2 banane, voire pas de banane du tout)
Nutella
1 pincée de sel

Préchauffer le four à 200 °C.
Faire fondre le beurre (je l'ai fait au micro-ondes, à 350 W).
Ajouter le lait puis l'oeuf battu, et bien mélanger.
Dans un saladier, mélanger la farine, la levure, le sel, puis y incorporer la préparation liquide, ainsi que le sirop d'érable et la banane écrasée.
Mélanger grossièrement (il doit y avoir des grumeaux) et verser dans les moules (en silicone, pour ma part) jusqu'à la moitié environ, en laissant un peu de pâte pour la suite (disons 1 grosse c.s. pour chaque moule).
Ajouter 1 grosse c.c. de Nutella dans chaque moule, puis recouvrir avec le restant de pâte.
Enfourner 15 à 18 minutes à 200 °C

Verdict : Un peu trop fort en banane. Pour ceux qui comme moi aiment moyennement la banane dans les gâteaux, je conseille de ne pas en mettre du tout et de garder juste le coeur de Nut Nut :-)

mardi 24 avril 2007

Tartine fraises balsamique




Etonné(e)s de me revoir si vite...?

C'est vrai, j'ai dit ce matin que j'allais calmer mes ardeurs culino-bloggesques afin de me reconcentrer sur ma thèse. Mais il faut bien que je mange, et puis, on ne peut pas dire que la préparation de ces tartines m'ait pris des heures. Le mode opératoire tient en une phrase : j'ai tartiné de la crème fraîche épaisse sur une baguette Kayser coupée en deux, puis j'ai ajouté des fraises gariguettes coupées en morceaux, quelques gouttes de vinaigre balsamique, et du poivre.

Quand j'ai apporté ces tartines à table, mon poulet les a tout d'abord observées avec circonspection : "C'est quoi qu't'as mis d'dans ???". Au bout de quelques minutes, il s'est décidé à en prendre une bouchée. Moi, pas téméraire, j'ai attendu son verdict avant de faire de même. Car j'ai beau avoir trouvé cette idée de tartine chez Trish Deseine (dans ses Petits plats entre amis), je ne mange pas les yeux fermés si je ne connais pas.



Eh bien, ce mariage fraise-balsamique est vraiment... surprenant. Les fraises prennent un goût différent avec le vinaigre balsamique, c'est curieux... on ne les reconnaît pas tout de suite. Le tout est frais, doux, acidulé, très agréable en bouche même si mon palais n'y est pas encore habitué.
A réessayer dès que possible, avec des petites Mara des bois (mes préférées !), et du caramel de balsamique. J'imagine le résultat sublime que ça pourrait donner...

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Anne de Cannelle et Cacao vient de consacrer son dernier billet au même sujet. Les grands esprits se rencontrent !

Pause... travail




Hum... Ma thèse n'ayant pas beaucoup avancé ces derniers temps, je vais devoir accélérer le rythme et, par conséquent, mettre un petit coup de frein sur mon blog. A mon grand regret...
Enfin, je continuerai mes expériences culinaires, mais à un rythme plus raisonnable. Car j'ai besoin de mobiliser jusqu'au dernier neurone pour accomplir cette tâche qui s'annonce ardue : finir cette %!*&?# thèse.
Sans parler des kilos pris depuis que je tiens ce blog :-S

Donc, je vais devoir troquer pour un temps ces outils :

contre ceux-là :


et délaisser ces étagères-ci :

pour retrouver celles-là (enfin, surtout celle du bas) :


Une plongée en apnée qui sera ponctuée de remontées à la surface pour respirer un peu...
On verra bien ce que ça donne...

dimanche 22 avril 2007

Le bonheur sur une tartine (ou éloge de la simplicité)




Le bonheur à mes yeux peut se résumer en un mot : simplicité. Pourquoi chercher sans cesse l'originalité ou la sophistication ? Pourquoi vouloir toujours du nouveau, du sensationnel, du jamais vu ? Je dois avouer que la quête incessante de l'inédit me fatigue parfois, et que pour cette raison (entre autres), je n'aurais jamais pu faire de la cuisine mon métier... n'étant décidément pas d'un tempérament créatif.

Cette tartine donc, n'a absolument rien d'original ; au contraire, elle est des plus classiques. Mais pour moi, c'est LA tartine dans toute sa plénitude. Je suis bluffée de la première à la dernière bouchée. UNE TARTINE PARFAITE. Un équilibre parfait. Il y a tout ce qu'il faut, rien de plus, rien de moins.

Alors, qu'y a-t-il donc ?
Une baguette Monge (j'ai la chance d'avoir une boulangerie Kayser presque en bas de chez moi) coupée en deux, des tranches de mozzarella di bufala fondues, du prosciutto di Parma en chiffonnade, des tomates cerises séchées maison (eh oui, encore elles !), un filet d'huile d'olive parfumée (celle des tomates), quelques feuilles de basilic, du poivre du moulin, et une pointe de sel rose de l'Himalaya (pour mon côté snob).



Au départ, j'avais envoyé mon poulet chercher du pain de campagne, mais il est revenu avec une baguette. J'ai râlé, parce que ce n'était pas ce que j'avais demandé. Mais au bout du compte, le résultat s'avère meilleur qu'avec du pain tranché, parce qu'il arrive parfois que ce dernier soit un peu détrempé par la mozzarella (même si je le toaste avant) alors que là, le pain est croustillant à souhait, contrastant avec la mozzarella filante. Le basilic apporte une touche de fraîcheur au gré des bouchées. Le mélange des saveurs est renversant. J'en pleure de bonheur.

La quête de la tartine parfaite s'arrête donc là pour moi. Et au diable l'originalité !

samedi 21 avril 2007

Rösti aux deux patates




Des pommes de terre qui attendent d'être utilisées, une moitié de patate douce esseulée dans le bac à légumes. Pourquoi ne pas les réunir dans des rösti ?

Rösti aux deux patates
pour 3-4 galettes (en fonction de la taille)

3 grosses pommes de terre (ou 4 moyennes ; environ 750 g)
1 patate douce à chair orangée (je n'en avais qu'une moitié, mais une entière c'est mieux)
1 oignon
100 g d'allumettes de lardons (facultatif)
beurre
sel, poivre

Cuire les pommes de terre et la patate douce dans une casserole remplie d'eau pendant 15-20 minutes. Il ne faut pas qu'elles soient complètement cuites.
Egoutter, laisser refroidir et éplucher. On peut faire cette première étape la veille.
Dans une petite poêle, faire revenir les lardons avec l'oignon haché. Egoutter, et mélanger aux patates. Saler légèrement, et poivrer généreusement.
Faire fondre une noisette de beurre dans la poêle, et y déposer une grosse louche de patates. Etaler et appuyer légèrement pour tasser. Lisser les bords.
Laisser dorer 5 à 10 minutes.
D'un geste sec, retourner le rösti sur une assiette.
Beurrer la poêle, et y faire glisser à nouveau le rösti.
Au bout de 5-10 minutes, quand le rösti est prêt, le retourner dans une assiette (comme précédemment).
Procéder de la même façon pour les autres. Normalement, on doit pouvoir en faire 4 moyennes.



Déguster avec une salade (version raisonnable) ou un bon steak (version gourmande). Je vous laisse deviner ce que j'ai choisi ;-)

Remarques :
Le fait de retourner le rösti d'un geste sec sur une assiette permet de ne pas le casser. Ca m'a paru être la meilleure méthode si on a une poêle à bord un peu haut (c'était mon cas).
On peut évidemment prendre une grande poêle pour faire un rösti géant, mais pour la raison citée juste ci-dessus, je n'ai pas choisi cette option.
Sinon, pour gagner du temps, on peut préparer tous les rösti (ou du moins 2) en même temps dans une grande poêle, mais dans ce cas, je pense qu'il est préférable de façonner au préalable des boules que l'on aplatira dans la poêle si on veut qu'ils aient une forme régulière. C'est sans doute ce que je tenterai la prochaine fois.

Variantes :
Pour les puristes, on peut n'utiliser que des pommes de terre. Autrement, il est possible de remplacer la patate douce par des carottes. Et pourquoi pas d'autres légumes ?



Verdict :
Excellent ! Les rösti ont une belle couleur dorée, presque émouvante... Le goût de la patate douce se manifeste légèrement par endroits, mais reste très (trop ?) discret. Je n'en avais pas assez à disposition, sinon il faut vraiment en mettre plus. Le goût est fantastique, bien relevé. Quant à la texture, mon poulet, qui est un grand spécialiste ès patates (après des années de fréquentation des stands de rösti et de truffade à la fête de LO), aurait préféré une enveloppe plus croustillante, mais il ne s'est pas fait prier pour en reprendre ;-)

vendredi 20 avril 2007

Le strudel qui se croit italien




Chez les Chinois, riz et nouilles sautés sont un excellent moyen d'accommoder des restes. D'ailleurs, pas plus tard que cette semaine, j'ai fait des nouilles sautées avec des restes rapportés de chez mes parents.
Je trouve que le strudel remplit également ce rôle à merveille. Un rouleau de pâte feuilletée, quelques restes, on emballe et on met au four. En fait, j'avais un reste de poêlée de courgette et aubergine à moitié cuits, et j'hésitais entre deux façons de les accommoder : soit une pizza, soit un strudel. J'ai opté pour le strudel, en y ajoutant du coulis de tomate, de la mozzarella et de l'origan. A l'italienne, donc.

Strudel aux légumes un peu italien
pour 3 morfales

1 courgette
1 aubergine
1 oignon
1 gousse d'ail
200 g de coulis de tomate
1 boule de mozzarella di bufala
1 rouleau de pâte feuilletée (faite maison si vous pouvez)
1 jaune d'oeuf
sel
, poivre
origan (ou basilic, herbes de provence)
huile d'olive

Couper l'aubergine en rondelles (1 cm d'épaisseur maximum), puis les rondelles en 4.
Couper la courgette en rondelles, puis les rondelles en 2.
Couper l'oignon en petits morceaux.
Faire revenir les légumes dans une sauteuse avec de l'huile d'olive. Ajouter un peu d'eau, et laisser cuire jusqu'à évaporation.
Ajouter l'ail dégermé et haché, puis le coulis de tomate.
Saler, poivrer, ajouter l'origan. Mélanger.
Laisser refroidir. Pendant ce temps, égoutter la mozzarella et la couper en petits dés.
Quand les légumes ont refroidi, préchauffer le four à 180 °C.
Dérouler la pâte feuilletée, essayer de lui donner une forme rectangulaire en étalant les coins avec un rouleau. C'est là qu'on voit l'avantage de la pâte feuilletée maison : on lui donne tout de suite la forme qu'on veut, au lieu d'essayer de transformer un cercle en rectangle.
Répartir les légumes et la mozzarella en longueur au milieu de la pâte feuilletée, sur 1/3 environ de la surface.
Rabattre un côté, puis l'autre.
Avec des ciseaux, faire des entailles au bord de la pâte, environ tous les cm, et rabattre une languette sur deux. C'est un des pliages de Christiana. Si ce n'est pas clair, voyez sur la première photo.
Replier les extrémités comme on peut.
Dorer avec un jaune d'oeuf.
Enfourner 30 à 40 minutes à 180 °C.

Déguster accompagné d'une salade verte, de crudités.

Verdict : à la sortie du four, une bonne odeur de... pizza. La pâte feuilletée est légèrement croustillante (sauf en dessous), la mozzarella fondante. Mon poulet en a redemandé :-)

jeudi 19 avril 2007

Cheesecake pour psychorigide




Il n'y a pas que les voyages dans la vie. Ben oui, toutes ces escapades m'ont donné faim.

Sans être dans l'obsession du cheesecake comme certaines, j'avoue que l'envie de cheesecake me titille tout de même assez régulièrement. Amusant pour quelqu'un qui n'aime pas le fromage*. Seulement, le cheesecake fait partie des (rares) choses pour lesquelles je ne supporte aucun ajout intempestif, ni aucune déclinaison. Donc, la psychorigide que je suis n'aime que le cheesecake au citron SANS RIEN D'AUTRE (PAS DE COULIS ! JUSTE NATURE), idem pour le riz au lait (à la vanille et C'EST TOUT), le gâteau au chocolat (SANS CREME ANGLAISE NI COULIS), et même les frites, je les préfère NATURE, sans mayonnaise, ketchup (beurk !) ou moutarde (juste une pointe de sel). Bref, je ne conçois de cheesecake que celui au citron, avec des spéculoos dans la base biscuitée.

Mes tout premiers essais, avec du fromage blanc, étaient peu concluants. Le résultat se révélait trop humide et spongieux. Puis, j'ai essayé le Saint Môret, déjà beaucoup mieux au niveau de la texture. Enfin, sur le modèle de Miss Cheesecake, j'ai décidé de mélanger ricotta et Saint Môret, pour un résultat encore meilleur, plus crémeux, mais très dense (de toute façon, qui aime les cheesecakes mousseux ?). Je n'ai jamais goûté aux cheesecakes new-yorkais, mais ça correspond à ce que j'aime.
Voici donc une recette, inspirée de sources diverses, notamment Loukoum°°° et Gontran Cherrier, grâce à qui j'ai enfin une recette qui me convient.

Cheesecake citron spéculoos

500 g de ricotta
300 g de Saint Môret
4 oeufs
150 g de sucre
2 citrons
20 spéculoos
10 galettes bretonnes
60 g de beurre fondu

(Ces quantités valent pour un moule à manqué de 22 cm de diamètre)

Ecraser les biscuits afin d'obtenir une poudre, mais pas trop fine, afin que la croûte soit un peu croustillante. Personnellement, je le fais au pilon. J'ai essayé dans un sac en plastique fermé, mais ce n'est pas toujours complètement étanche, et je me retrouve avec les mains toutes grasses.
Mélanger avec le beurre fondu et tapisser un moule à manqué avec ce mélange (on recouvre préalablement le fond du moule avec du papier sulfurisé). Egaliser en tassant un peu avec le dos d'une cuillère. Mettre au frigo.
Préchauffer le four à 150 °C.
Dans un grand récipient, fouetter la ricotta et le Saint Môret pour les détendre. On peut ajouter un chouïa de crème fraîche, si on veut.
Incorporer les oeufs un par un, en mélangeant à chaque fois.
Ajouter le sucre.
Ajouter le zeste d'un, et le jus des deux citrons.
Mélanger, verser dans le moule et enfourner pendant 1 heure à 150 °C.
Laisser refroidir et mettre au frigo pendant 24 heures avant de déguster. Ne surtout pas manger tout de suite, le cheesecake se bonifie au fil des jours.

Verdict : excellent, mais ne pas se laisser emporter dans son élan, car le cheesecake est traître.
Mon poulet qui, d'habitude, noie sa part de cheesecake dans du coulis de framboise (parce qu'il n'aime pas tellement ça), m'a dit qu'il le trouvait bon. Si ça, ce n'est pas un compliment...



*Hormis le reblochon peut-être, je n'aime que les fromages pas trop forts, et si possible fondus/gratinés. Pour l'anecdote, il y a une quinzaine d'années, on m'a donné 1000 francs pour que je mange un bout de camembert, sachant que j'en avais horreur. A ce prix-là, j'ai accepté ;-)

Escapades (en couleurs)

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Beijing




Au Temple de Confucius


Sur la muraille



Dans la Cité Interdite


Au parc Beihai


Maisons en voie de disparition...


Sur un marché


Dans une ruelle


Façade d'un autre âge


Les fameux dazibao


Problème de circulation


Dans une mosquée


Atelier raviolis



A la cantine



Wien


Le pavillon de la Sécession


Le Palais Ferstel, abritant le Café Central


Währingerstrasse, près de l'Université


Le Karl Marx-Hof, ensemble de HLM construit au début du 20ème siècle


Mon supermarché


Le cinéma Urania, au bord du canal du Danube


Le Burgtheater, théâtre national


La grande roue du Prater




Mon café préféré


Le Café Hawelka, ouvert en 1939 par un couple, Leopold et Josefine, et toujours tenu par eux. Une véritable institution.

Herr Hawelka, fidèle au poste


La Hundertwasserhaus, abritant des HLM haut de gamme


Affiche pour le musée du Belvédère


Station de métro Art Nouveau, par Otto Wagner



Majolikahaus sur la Linke Wienzeile, par Otto Wagner


Dans un café



Helsinki













Tallinn











Bergen





Au port



Bergen vue d'en haut






Dans les rues de Bergen





Marchand de poissons (ce qui ressemble à de la viande rouge , c'est de la baleine)



Lisboa















Firenze













Corse


Sur les îles Lavezzi


Ficajola


Cargèse


Centuri Port



Ile de Ré







Batz sur Mer





... et Paris









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Il y a des doublons avec les photos N & B et les polaroid, parce que je ne pars jamais en vacances avec moins de 2 appareils (je sais, c'est bizarre, on me regarde avec de grands yeux quand je dis ça...).
DANS L'IDEAL, j'en prendrais 5 : numérique (pour la couleur), compact argentique (pour le développement couleur), reflex argentique (pour le N & B), Polaroid et Holga (mais DANS LA VRAIE VIE, c'est 3 maxi). La raison est que pour chaque sujet ou type de photo, il y a toujours (au moins) un genre qui convient mieux que les autres, à mes yeux en tout cas...